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Marcel Proust, un auteur d’autrefois, bon pour les bibliothèques poussiéreuses et autres musées de la littérature ? Le présent ouvrage démontre qu’il n’en est rien. Suivant une grille d’analyse et un plan de lecture rigoureux, Michel Joiret passe en revue différents personnages, thèmes, caractéristiques d’écriture, nous montrant à quel point les “figures” de Proust, aussi modelées soient-elles par la société de son époque, sont proches de nous et nous offrent de nous-mêmes un portrait en miroir. Nous découvrons combien, une fois la “Recherche” démythifiée, les récits et autres portraits de l’impitoyable observateur-analyste qu’était Proust peuvent s’insérer dans notre quotidien. À travers la chronique d’un nanti, les circonvolutions de la pensée, les phrases interminables, c’est toute une sensibilité, une sensualité, qui se déploie, symphonie de parfums, couleurs, atmosphères, ouvrant le lecteur à une finesse, une richesse de perceptions auquel le monde contemporain ne l’a pas initié, et qu’il pourra désormais insérer dans sa palette de perceptions. « À l’instar des écoles françaises, qui privilégient la connaissance de Proust – en attirant de jeunes lecteurs amusés et intrigués par la prodigieuse exactitude du propos –, les élèves des enseignements secondaire et supérieur ont tout à apprendre de l’homme, de l’écrivain, de l’époque, de la sensibilité, de l’humour, de l’emprunt continuel aux ressources sensorielles, de cet univers encombrant certes mais si proche des mille et une sollicitations dont nous sommes aujourd’hui les sujets », nous dit l’auteur en guise d’entrée en matière. Un ouvrage, certes, indispensable aux professionnels qui font voeu d’enseigner la vie profonde à travers les oeuvres littéraires, mais aussi à tous les curieux intéressés par une des plus grandes voix de la littérature mondiale.
Né à Ixelles (Bruxelles) en 1942, Michel Joiret est un « enfant de la guerre ». Faible et démunie, sa mère lui renvoie l’image d’un monde éprouvant, injuste et déchirant, tandis que son père « en représentation » dans son salon de coiffure de l’avenue Louise, est proche des milieux artistiques de son temps, ami de Michel de Ghelderode, auteur de comédies, chansons alertes et sketches bien troussés, et « peintre du dimanche ». Profondément marqué par l’interminable divorce de ses parents, M.J. se réfugie très tôt dans la solitude, le secret, l’imaginaire. Le recours à l’écrit lui apparaît vite comme une ouverture décisive au monde qui l’entoure. Sa vie littéraire débute au Grenier aux Chansons à Bruxelles où il est l’invité de Jane Tony. Amateur de littérature fantastique, il entre dans Le Groupe du Roman, animé par Robert Frickx, où il fréquente Thomas Owen, Anne Richter, Jean Muno, Gaston Compère…) M.J. fut longtemps professeur, en Tunisie (dans le cadre de la coopération technique au développement), puis dans l’enseignement provincial du Hainaut. Détaché pédagogique, chargé de mission dans le cadre de la Réforme de l’Enseignement professionnel, il fondera le Projet-Lecture et d’Écriture Charles Bertin – Charles Plisnier, qui tend à la réconciliation de l’élève avec la lecture. Son goût pour la communication l’amène à participer aux travaux de l’Alliance Française où il devient professeur de littérature. Organisateur de débats, conférencier, écrivain, il fonde et anime la revue LE NON-DIT, au service de la littérature belge de langue française. Il est l’auteur d’une quarantaine de romans, essais, recueils de poésie…