Rien de commun en apparence entre Bono, simple d'esprit amoureux d'un enfant rêveur, dans La boîte à secrets, et Moha, immigré algérien hanté par les ciels et les odeurs de son pays natal, dans Les orangers. Rien sinon la solitude et le don de peupler celle-ci d'êtres et d'objets imaginaires. Rien sinon la quête de l'autre qui les entraîne, volontairement ou non, jusqu'aux frontières de l'indicible et de la mort.
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