On disait : terminaïre.
C'est un adjectif réservé aux sentes des collines qui ne connaissent pas de passages fréquents. Alors elles passent où elles peuvent, se subdivisent et se perdent entre les arbres. Sans trop de peine on invente leur suite car le somment est proche : on passe entre deux touffes sur les pas d'une bête, sur un rang de pierres éboulées. Et la sente que l'on suivait devient la sente terminière, celle qu'on a improvisée, adéquate à son pas.
Ce livre est fait de ces traces, chaudes, furtives, suspendues, qui disent la vie à ses moments ultimes et transmettent le lien précieux d'une création continuée.
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