Ce long peuplier ne quitte plus mon
esprit, tres souvent je le vois très
vieux, maintenant gravement vieilli,
brise à la prochaine tempête.
Sur l'étagère il va le pain, dans la
boîte en Per le tabac et le sel, les
tintements des cloches et leurs clarines
au lointain.
J'ai pris le pain et le tranche...
lentement, la vie s'enfuit. Je ne
peux plus comprendre maintenant.
J'attends en silence... Le pain est dur
et agréable à macher. Je le mâche
longuement.
Sur le bord de l'étang mon regard
derive. Une feuille flotte. L'homme
va seul. Il ne peut écrire que sur les
feuilles jaunes des arbres à l'automne,
avant qu'elles ne tombent.
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