A la suite de l'uppercut asséné par la publication
de «Je ne m'adresse plus la parole» (2010),
Yann Sénécal martèle, dans ce nouveau round
du corps à corps qu'il livre avec le quotidien,
son attention prononcée des menus travers de
notre société, «des mensonges pour vivre
mieux». L'aller-retour permanent des
mesquineries à la farouche détermination
d'aimer oblige à regarder, les yeux dans les yeux,
que «les langues de vipère gagnent du terrain».
Couverture : Laurence Voisy-Payet (huile sur toile)
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