Avec les dialogues d'Alice et
d'Hector, Bruno Viard prend ici le
parti d'interrompre cette antique
rumination et de jeter les bases
d'une dialectique toute nouvelle
fondée sur la polarité du masculin
et du féminin.
Alice et Hector seront surpris au
moment du café, après déjeuner
aussi bien que le matin, moment où
l'activité est en suspens, occasion de
faire le point sur l'important et le
futile. Mais l'important peut aussi
se cacher dans le futile.
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