« En rêve on se rencontre, On s'aime, on se complète.
On ne va pas plus loin Que dans l'autre et dans soi. »
Derrière ces vers très courts, évocateurs et intrigants, se dessinent des parallèles, ces droites qui évoluent dans la même direction, mais toujours à distance. Pouvions-nous penser que les figures géométriques, avec leur rigueur mathématique, ouvriraient sur une poésie tellement sensible ? Guillevic évoque la géométrie euclidienne avec humour, lyrisme, fantaisie. Et soudain tout un paysage à la fois familier et exotique surgit : les formes arides du plan prennent toutes les couleurs de l'imaginaire.
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